Parmi les assertions suivantes, lesquelles expriment des limites des SGBDR qui justifient l'évolution du modèle relationnel classique vers le modèle relationnel-objet ?
Le principe d'atomicité des attributs d'une relation (première forme normale) empêche de disposer de propriétés structurant plusieurs valeurs dans un type complexe.
La séparation des données et des traitements empêche l'intégration des méthodes au modèle.
La représentation de données complexes conduit à une fragmentation importante de l'information en de multiples relations et à des chutes de performance.
Le modèle relationnel ne permet pas d'exécuter correctement des transactions en réseau.
Il n'est pas possible de créer des types de données personnalisées.
Il n'est pas possible d'exécuter des instructions SQL1 ou SQL2 à partir d'un langage objet tel que Java, alors que c'est possible avec SQL3.
L'héritage n'est pas représentable directement.