Illettré numérique on est relégué au rang d'utilisateur de services, on est prolétarisé (Stiegler, 2006), c'est à dire que l'on est privé d'un savoir et d'un savoir-faire que l'on possédait avant, que l'on ne peut plus décider de ce que l'on fait de notre écriture numérisée, de nos relations numérisées au monde. On est servi, et asservi, par des logiciels qui commandent à nos pratiques, des instruments qui nous instrumentent.