Le numérique conduit à une nouvelle documentarisation, une redocumentarisation, qui est à la fois une sur-documentarisation et une dé-documentarisation, c'est à dire :
une production exponentielle de ressources numériques,
qui ne sont plus vraiment des documents, coupées de leur permanence par le calcul et dont les propriétés éditoriales sont relâchées par leur vulgarisation.