Architecture générale d'une application de base de données
Définition :
Une application de base de données comporte :
Une base de données : Elle pose le modèle de données, stocke les données, définit des vues sur les données (préparation des modalités de lecture)
Une application : Elle définit les interfaces homme-machine pour écrire et lire les données et contient le programme informatique de traitement des données avant insertion dans la base ou présentation à l'utilisateur.
Fondamental :
Méthode : Procédure générale de développement
Développement de la BD[1] : Conception en UML[2] ou EA[3], puis traduction en R[4] ou RO[5], puis implémentation SQL[6]
Déclarer préalablement les types (en RO)
Ajouter les vues utiles, pour simplifier l'accès aux données en lecture
Ajouter des triggers, pour implémenter les contraintes complexes non exprimables en SQL (lorsque le SGBD le permet, comme Oracle ou PostgreSQL)
Implémenter les méthodes d'accès aux données (en RO), ou à défaut les fonctions stockées (en R) permettant de renvoyer les valeurs calculées prévues par le modèle conceptuel
Développement de l'application : traitements, formulaires et états
Les traitements proches des données sont réalisés dans le langage associé à la BD s'il existe (PL/SQL, PL/pgSQL, VBA)
Les traitements proches de l'application sont réalisés dans le langage applicatif choisi (PHP, Java, VBA & Macros sous Access)
Exemple : Exemple de technologies
BD :
SQL pour les tables, les types et les vues
PL/SQL (Oracle), PL/pgSQL (PostgreSQL) pour les triggers
PL/SQL, PL/pgSQL, VBA (Access) pour les fonctions stockées
Application
HTML avec la balise
<form>
et le protocole HTTP/POST (Web), formulaires AccessPHP (
echo
) et présentation HTML (<table>
par exemple), état AccessPL/SQL, PL/pgSQL, VBA (Access) pour les procédures et fonctions stockées (traitements proches de la base de données)
PHP (Web), Macros & VBA (Access)